Au quai de La Paz, il faut passer les douanes (pour vérifier les enregistrements des véhicules). Nous sommes arrivés en après-midi (vers 13h00).
Nous avons dû faire la file (qui est en plein centre des deux voies de la route) avant qu'un agent, aussi souriant qu'un chien boxer, nous dise de passer. Une fois à l'intérieur de l'enclos servant de douanes, on nous a indiqué une nouvelle file à suivre.
Nous avons franchi un poste de contrôle où Camille devait presser sur un bouton. Si la lumière était verte, nous passions sans problème, si elle s'allumait rouge... on fouillait Matamata. C'est le hasard, a affirmé le douanier. Comme un billet de loterie... on gagne ou on perd.
On a perdu! (Ou on a gagné, je ne sais pas trop. En tout cas, ils nous ont fouillés.)
Nous avons dû faire la file (qui est en plein centre des deux voies de la route) avant qu'un agent, aussi souriant qu'un chien boxer, nous dise de passer. Une fois à l'intérieur de l'enclos servant de douanes, on nous a indiqué une nouvelle file à suivre.
Nous avons franchi un poste de contrôle où Camille devait presser sur un bouton. Si la lumière était verte, nous passions sans problème, si elle s'allumait rouge... on fouillait Matamata. C'est le hasard, a affirmé le douanier. Comme un billet de loterie... on gagne ou on perd.
On a perdu! (Ou on a gagné, je ne sais pas trop. En tout cas, ils nous ont fouillés.)
L'agent a donc demandé à Camille d'ouvrir certains coffres extérieurs et il est monté à bord pour faire une inspection. Il a ouvert une de nos armoires garde-manger (la seule armoire qu'il a ouverte, d'ailleurs !)... et plusieurs items lui sont tombés dessus.
Petit malaise... Camille a tourné ça à la blague en disant qu'il était bien content que ce soit arrivé à un agent des douanes et non à lui-même, car, paraît-il, je l'aurais disputé. J'en ai aussi ajouté à mon tour... et l'agent a ri !
L'inspection s'est arrêtée là ! Haaa ! Ce qu'on peut être sympathiques, dirait Camille !
Petit malaise... Camille a tourné ça à la blague en disant qu'il était bien content que ce soit arrivé à un agent des douanes et non à lui-même, car, paraît-il, je l'aurais disputé. J'en ai aussi ajouté à mon tour... et l'agent a ri !
L'inspection s'est arrêtée là ! Haaa ! Ce qu'on peut être sympathiques, dirait Camille !
Nous avons poursuivi notre chemin (quelques mètres à peine!) jusqu'à la pesée du véhicule et l'endroit où on mesurait les équipements. Ensuite, nous nous sommes stationnés le long de la clôture, près de la pesée. Nous sommes descendus de Matamata et sommes allés chercher nos billets pour le passage sur le bateau. Par la suite, ce fut l'attente jusqu'au soir...
(La suite dans la prochaine entrée.)
Je vis toujours un certain stress à traverser les douanes américaines. Je n'ose imaginer ce que ce serait pour moi traverser les douanes mexicaines!
RépondreSupprimerDans un cas comme dans l'autre, l'accent français les amuse (sauf au Canada). Et, personnellement, je trouve les douanes mexicaines plus friendly que les américaines.
RépondreSupprimerLes Mexicains aiment bien quand on précise que "no somos gringos, pero canadienses-franceses" et, un truc que je vais essayer au retour: avoir dans le VR des effigies de Nuestra Senora de la Guadalupe. Paraît que ça les rend plus aimables encore. Ils sont fervents catholiques et très respectueux de la Vierge. (Et ça marche aussi sur les petits voyous que nous sommes toujours susceptibles de croiser.)