samedi 29 décembre 2012

Restaurante Mar Plata

Pour une occasion spéciale, un soir, nous nous sommes rendus à San Francisco (San Pancho, pour les intimes !) pour souper au restaurant Mar Plata. Si on ne sait pas à quel endroit il est situé nous pouvons chercher longtemps. D’ailleurs, nous nous sommes arrêtés quelques fois sur la rue principale pour demander. Une fois, une dame qui expliquait le chemin à suivre était derrière le comptoir de son « casse-croûte » avec son couteau du chef qui se balançait de gauche à droite et de haut en bas pour illustrer chacune de ses paroles...

Après plusieurs minutes, nous sommes arrivés au restaurant. Nous avons dû gravir quelques marches puisque le restaurant est situé tout en haut de la colline. Le jour, la vue doit être superbe. Le soir, c’est dans une ambiance feutrée grâce à l’éclairage des luminaires en forme d’étoiles qui sont magnifiques. Les tables et les chaises de style rustique créent aussi une ambiance chaleureuse dans ce restaurant chic, mais tout en étant décontracté. Les deux dames qui nous ont servis ce soir-là étaient vraiment très sympathiques et professionnelles. La nourriture était bonne, mais les calmars frits ainsi que les crevettes que j’ai commandées n’avaient pas un goût plus extraordinaire que dans d’autres restaurants où nous sommes allés. Côté dessert, le fondant au chocolat (tout chaud… évidemment!) avec la glace à la vanille que j’ai mangé était parfait, mais pour le café...


samedi 22 décembre 2012

Ouf ! On a survécu au 21 décembre !

Vous êtes toujours là ? Nous aussi ! ;)


 Pendant que certains sont là...

                              (photo cyberpresse)


 Nous sommes toujours là...



Joyeux Noël !


jeudi 13 décembre 2012

Une journée à La Parota

Ouf ! Le 12/12/12 est passé sans événements catastrophiques (diront certains). Pour quelques asiatiques, c’étaient une journée considérée comme un jour porte-bonheur, donc la date parfaite pour se marier. Ici, c’était les célébrations pour la Virgen de la Guadalupe…

Depuis le 1er décembre, à 5h du matin, TOUS les jours, je me faisais réveiller par des pétards que l’on faisait éclater dans le ciel au dessus du village. On se préparaient pour la fête de ladite Virgen. Mais, avant cette date, on lui a rendu hommage… entre autres, en envoyant des pétards (comme je viens de le dire) non seulement à 5h, mais aussi à 7h, parfois à 19h, puis à 20h…

Bien que ce genre de célébrations se passent à la grande place du village et que nous en sommes les plus éloignés, je sursaute souvent. Et dans la nuit de mardi à mercredi c’était pire, à toutes les heures des pétards étaient lancés, du village ET de la plage. Je n’ai presque pas dormi de la nuit. J’aurais dû faire comme Camille et mettre des bouchons d’oreilles !

À 7h30 du matin et à 12h30, TOUS les jours depuis notre arrivée, le sifflet de la bouilloire des voisins retentit ! Et quelquefois, on a l’impression qu’ils l’ont oubliée… comme leur petit chien qui jappe ! En fait, ils ont deux chiens, un petit et un gros. Le petit est l’un des plus jappeurs du camping. Notre voisin d’en face, qui déteste encore plus les chiens que Camille (ce qui n’est pas peu dire !), a une voix de stentor ! Depuis que nos voisins (avec les chiens) se sont aperçus que notre voisin d’en face jappait plus fort que leur chien, tiens? ils le laissent moins faire…

Entre 10h et 16h, il y a (dépendamment du jour de la semaine) des vendeurs qui passent pour vendre : poinsettias (c’est le temps des fêtes ici aussi), propane, crevettes, fruits et légumes, pain, pâtisseries, burritos, tamales et j’en passe. Pas besoin de nous déplacer, tout vient à nous !

Justement, les pâtisseries arrivent...

dimanche 2 décembre 2012

Restaurant El Coleguita, Puerto Vallarta


Lors de notre journée passée à Puerto Vallarta, nous avons diner au restaurant de fruits de mer et poissons, El Coleguita situé en face de la marina.  Dès que nous nous sommes assis, on nous a offert un shooter de téquila tout à fait gratuitement, suivit d’un bouillon de crevette qui est aussi une gracieuseté de la maison ainsi que la banane plantain sucré et le kalhua sur glace à la fin du repas. Entre tout ça, le plat principal de notre choix parmi plusieurs  : poissons entiers; filets; calmars; crevettes, etc. tout pour la modique somme de 12$ ! Une aubaine pour une nourriture excellente ( mais trop copieuse ! ), un service hors du commun et une belle ambiance !

Camille a choisi le poisson entier servit avec trois sortes de sauces, salade et riz. Moi, j’ai opté pour le « mignon de crevettes »  :  trois mignons composé de poisson, crevettes entouré de bacon le tout servit avec trois sortes de sauce… de la plus piquante à la plus douce avec salade et riz. Ouf ! On est sorti de là vraiment plein.

Petit note: ils ne servent pas de Corona (la bière de Camille !) et il ne prennent aucune carte de crédit  : cash only !

Adresse  : calle Popa s/n, condominios Marina del Rey, Local 17, Marina Vallarta, Puerto Vallarta

jeudi 29 novembre 2012

Un dîner "fancy"

(Une entrée de blogue de Nancy)

Mardi, nous avons reçu à dîner nos amis Don Juan et María-Luísa. Comme entrée, j’avais préparé des poires pochées, farcies aux fromages et roulées dans les noix avec quelques gouttes de vinaigrette balsamique. C’était tout simplement bon et frais.


L'entrée était suivie d’un pain à la viande modifié… modifié car lorsque j'ai ouvert le paquet de porc haché, j'ai failli me retrouver la tête dans la toilette tellement la senteur était épouvantable ! J’ai donc du trouver une solution sans être obligée d’aller au village. Heureusement, j’avais quelques saucisses argentines et hop! on hache et on met le tout dans la préparation ! Ce fut un succès... qui aurait pu ne pas l’être !

Comme dessert  : mousse à l'érable, dans laquelle j'avais ajouté quelques framboises. J'ai servi la mousse accompagnée d’un verre de glace que j'ai rempli de rhum brun. Mais je n'ai pas pensé que de la glace, au Mexique, ça fond plus vite qu’au Québec (surtout en ce moment).



Nous prenions notre temps pour déguster et placoter quand, à un moment donné, tous les quatre, tour après tour, nous étions aspergés par nos verres de glace qui avaient des trous sur les côtés... On s’en est mis partout. Bravo, Nancy !

lundi 26 novembre 2012

¡¡¡La policia!!!

Nous sommes allés magasiner à Puerto Vallarta avec nos amis Juan José et Luisa-Maria. Juan José conduit comme un Mexicain, c'est-à-dire quatre fois la vitesse permise. Arriva ce qui devait arriver : à la sortie de la ville, dans le secteur de l'aéroport, un policier (accompagné de trois collègues) nous fait signe. On vient de se faire pincer.

L'homme n'a pas l'air commode et, avec une tête de circonstance, indique à Juan José de se ranger sur le côté. Obtempération, il va sans dire.

Après les salutations d'usage, le gars à la mine fermée explique à Juan José les raisons de son interpellation.

― Je n'allais pas au double de la vitesse, réplique Juan José, mais il est vrai que je dépassais un peu la limite.

Le policier, qui vient de nous apercevoir Nancy et moi assis à l'arrière, change tout à coup de ton.

― Je vois que vous avez des invités, dit-il. Et c'est très bien. Aussi, pour le moment, je ne vous donnerai pas de contravention. Mais promettez-moi de réduire votre vitesse.

Et il nous souhaite un bon voyage.

Une fois qu'il est parti, on se regarde tous les quatre, en échangeant des mines incrédules.

¡Que amable!

C'est le moins qu'on puisse dire.

dimanche 25 novembre 2012

Punta Cerritos RV Park


Je vous parle ici d’un autre camping, cette fois à Mazatlan, où nous avons séjourné sur la route. Le camping  Punta Cerritos RV Park

Le camping est situé au nord de Mazatlan, près de la « Playa Bruja » dans le Nuevo Mazatlan. Il se trouve en dehors de la ville, un peu isolé et juste en face de la mer. La piscine a d’ailleurs été creusée face à la mer avec, vous vous en doutez bien, une vue époustouflante ! Malheureusement, pour avoir accès à la plage il faut sortir du complexe et nous y rendre par la rue. Pourtant, la mer est collée au camping. Nous pourrions sauter en bas d’un talus et nous serions rendus. Une dame, nous a dit que c’était pour empêcher les Mexicains de venir sur le site. Raciste, va!

Enfin, bref, nous y avons  installé Matamata en peu de temps et, hop ! dehors, avec un bon livre de Isabelle Allende. Mais aussitôt  : Bang ! Toc, toc, toc, ziiiiiiziiziiiiiziiiziiii… Marteaux, scies, moteurs d’appareils de levage, tous les bruits d’un chantier de construction sont présents…

Le propriétaire fait des améliorations depuis l’ouverture de son camping. Ce qui peut-être positif, mais ce qui occasionne aussi beaucoup de bruits. Ils proviennent surtout du motel-appartements; sans compter les bruits venus des sites des résidents permanents qui se font bâtir leur propre palapas, cuisine extérieure ou murets d’intimités. Brouhaha des chantiers de constructions sont au rendez-vous durant la journée !

Le propriétaire a aussi fait bâtir plusieurs petites boutiques et petits restaurants pour accommoder les touristes du complexe.  Les nouvelles constructions contrastent avec les anciennes situées au bord de la mer et appartenant à des Mexicains depuis plus de 30 ans…

En ce qui concerne les sites eux-mêmes  : ils sont grands, avec patio (le nôtre avait un lavabo), trois services inclus et un WiFi (plutôt ordinaire)  : 25 $ par jour.

jeudi 22 novembre 2012

Nous voilà arrivés !

Voilà quelques  jours que nous sommes de retour à Lo de Marcos, après plus de 8 mois d’absence. La température est magnifique et l’humidité… au maximum ! On comprend pourquoi il y a siesta l’après-midi… nous non plus, nous n’avons plus envie de bouger ! 

Nous sommes aussi de retour au Parque de acampar La Parota où nous avons retrouvé nos amis et propriétaires  : Don Juan José et Maria-Luisa. C’est grâce à eux si nous avons pu avoir un frigo pendant que des réparateurs cherchaient le problème empêchant le nôtre de fonctionner. En fin de compte, après cinq jours de recherche, après que deux spécialistes de La Pénita (des Canadiens) soient venus sans succès, c’est un monsieur du camping qui a trouvé le problème. Et ce, en quelques minutes, mais, la saga n'est pas terminée...

Bien installés, nous profitons maintenant de notre automne… et de l’hiver à venir. 

mardi 20 novembre 2012

¡Viva la Revolución!

C'était la fête nationale, aujourd'hui, au Mexique. Tout le village de Lo de Marcos semblait s'être regroupé sur la Grand Place du pueblo. Musique, danse, manèges, alcool (parce qu'ici, les gens ont le droit de consommer en public)...

Mettons que c'était bruyant. (D'ailleurs, même si je me trouve à l'extrémité la plus éloignée du village, j'écris cette entrée sous le rythme des Musicos qui continuent la fiesta).









dimanche 18 novembre 2012

Mettre de l’essence à Mazatlan !

Il y a quelques voitures lorsque Camille arrive aux pompes. Il veut bien passer entre une voiture et la pompe, mais ça semble plutôt serré…

La préposée lui dit d’avancer, tranquillement Camille s’exécute sous ma supervision, au cas  :

- Attention au miroir de la voiture ! m’écrié-je. Attention à l’aile! Attention aux boyaux de pompe, ils traînent par terre. Attention ! Ne bouge plus ! Le gars essaie d’entrer dans sa voiture ! 

Camille, impatient  :  «Qu’il entre et qu’il parte!»

- OK. Il s’en va…

Camille est tout content d’avancer… « Attentiiiiioooooon ! » Il s’en est fallu de peu ! Une des préposées a décidée de passer juste en avant du VR pendant que nous avancions !!!

Une nouvelle voiture vient de se stationner à côté.

- Non, mais, il le fait exprès, ça se peut pas!

Heureusement, le chauffeur s’est collé sur la pompe ce qui permet à Camille de pouvoir sortir du VR (nos escaliers).

Et après ces péripéties à la pompe (où la jeune préposée était aussi souriante qu’un taureau à qui on demande son chemin
(le commentaire ne vient pas de moi!)), nous reprenons la route en plein heure de pointe au coeur de la ville de Mazatlan.

jeudi 15 novembre 2012

Los Mochis Copper Canyon RV Park

Les campings se suivent… mais ne se ressemblent pas.

A première vue, on a l’impression que le camping « Los Mochis Copper Canyon » est fermé. D’ailleurs la porte de « l’office » est cadenassée. Pourtant, il y a bien quelqu’un qui se dirige vers notre VR, le gérant de la place. Il nous dit de nous installer où l’on veut (toutes les places sont libres!) que son fils viendra ouvrir  « l’office » plus tard (en fait, il viendra directement nous voir au VR).

Tous les sites se ressemblent  : vieux et très petits patios peinturés blancs sur un dessus usé et souvent cassé par endroits; petits poteaux pour l’eau aux deux sites, poteaux qui penchent soit vers la droite, soit vers la gauche; quant à l’électricité, sur le site où nous étions, il n’y avait pas de mise à la terre. Nous avons donc opté pour ne pas  nous brancher ! En ce qui concerne l’eau, le débit est si faible que nous avons décidé d’utiliser le réservoir du véhicule. 

Nous n’étions là que pour un soir et, sincèrement, je ne serais pas restée plus à moins d’être mal prise (mais vraiment mal prise), car pour 22$, trois services médiocres, sans internet, je trouve ça un peu, beaucoup, pas mal cher. En plus, de 20h00 à minuit, les gens de la résidence juste en arrière étaient « sur le Party » ! La musique était au rendez-vous (comme dans bien des partys, me direz-vous) mais, ici, TOUT le monde devaient faire les vocalises. En plus clair : TOUT le monde à eu droit à sa minute de gloire, car c‘était une soirée de Karaoké ! TOUTE la soirée ! Si il y en a qui chante « étonnamment » bien (lorsque l’on écoute American Got Talent, par exemple), là, c’était plutôt un désastre pour nos pauvres ouïes ! 

Malheureusement, d’après le livre des Church (et n’ayant pas fait d’autres recherches), il n’y aurait que ce camping à Los Mochis. Selon le livre, ce serait l’endroit d’où les caravaniers partent visiter le Copper Canyon, et  laisseraient  leur VR .


P.S. : Ah oui, et on a appris que c’était ici que la gang de Caravanes Soleil laissait les VR quand ils vont visiter Copper Canyon. Je comprends qu’ils ne restent pas sur place. Hihi.

mardi 13 novembre 2012

Entrée au Mexique en VR par Nogales (2/2)

Ce que je vais vous raconter est pure vérité !

Tôt, dimanche matin (car les bandits dorment, ou ils sont encore saouls de leur soirée de la veille), nous franchissons les douanes États-Unis-Mexique en saluant de la main le douanier américain qui, dans sa voiture, n'a pas bronché. Probablement que la température l'avait transi.

Nous continuons donc notre route, et roulons sur le territoire Mexicain pendant 21 km avant de nous arrêter pour récupérer les documents nécessaires à notre séjour de quelques mois au Mexique.

Après avoir stationné le VR, nous nous dirigeons vers le bureau "Tourist Permit" pour nous procurer notre visa de tourisme. Quelques photocopies plus tard, la dernière étape: le permis d'importation du véhicule, les paiements et... nous voilà de retour au VR.

A peine avons-nous repris la route, qu'un douanier mexicain nous fait signe d'arrêter. J'ouvre la fenêtre et il me dit d'ouvrir la porte. Il entre, regarde un peu ça et là, placote (il veut faire du social...) et nous souhaite bonne route. C'est comme ça que nous avons franchi les douanes Mexicaines, en moins d'une demi-heure !

Nous reprenons la route, il est 8h30. Et, nous roulons, et roulons, et roulons sur la route 15 (qui n'est pas mal, par endroits, et horrible à plusieurs autres) !

À certains moment la route est si mauvaise (à moins que ce ne soit la conduite du chauffeur ?) que la moitié des livres au-dessus de ma tête viennent s'abattre sur moi et l'armoire contenant la vaisselle menace de se vider de son contenu !

Voilà pourquoi la route est en réparations à peu près partout et que, peut-être, nous n'avons pas croisé de barrages de police ou d'armée. À moins que ce ne soit parce que nous sommes dimanche...

Pour notre première journée, nous avons donc roulé jusqu'au village de San Carlos en bordure de mer et nous nous sommes installés au Totonaka RV Park dont je vous parlerai dans la prochaine entrée.

dimanche 11 novembre 2012

Entrer au Mexique en VR par Nogales (1 de 2)

Je pourrais vous raconter comment fut difficile notre journée de traverser des États-Unis au Mexique...

Je pourrais vous dire qu'aux douanes, nous avons été fouillés. Que, par la suite, sur la route, à moins d'une trentaine de km des douanes, nous dûmes nous arrêter, car un barrage nous bloquait la route. Que l'on nous a obligé à descendre de notre VR, qu'un groupe l'a pris d'assaut, nous laissant seuls, démunis au bord de cette route inconnue et dangereuse.

Je pourrais vous raconter bien des péripéties. Je pourrais vous raconter tout ça... mais en citant plusieurs forums sur le net où l'on peut lire ces atrocités sur le Mexique sans que le commentateur ait lui-même vécu l'expérience avec son VR.

En fait, moi, je ne peux pas vous dire tout ça... car notre traversée de la frontière et notre journée de route au Mexique se sont déroulés comme un charme.

C'est plutôt ça que je vous raconterai dans la prochaine entrée...

vendredi 9 novembre 2012

Miracle RV Park, Tucson, Az.

Après un séjour au Catalina State Park, mes attentes concernant le Miracle RV Park n'étaient évidemment pas très élevées, mais, quand même ! Je suis déçue !

Déçue du peu d'espace que nous pouvons occupé (nous ne pouvons pas ouvrir notre auvent qui, à mi-course de son ouverture, touche la fenêtre de la roulotte voisine), des nombreux sursauts que je fais à chaque fois que le compresseur du garage derrière notre site démarre; du chien du voisin qui jappe un p'tit coup de temps en temps; des sirènes de polices qui passent sur le boulevard derrière notre site; de la porte de grillage que le voisin (ou ses enfants) laisse claquer à chaque fois qu'il entre ou sort... BANG ! Des voitures qui passent entre notre VR et le bureau d'accueil situé à côté (un "chemin" de terre nous sépare !).

Mais ici, nous avons pu obtenir un rabais grâce au Passeport América (enfin!!!!). Et nous avons tous les services, y compris internet haute vitesse, tout ça pour moins de 15$.

Étant donné que les sites sont vraiment, vraiment très petits, même avec notre VR de 30', nous avons eu de la difficulté à stationner jusqu'à ce qu'un monsieur vienne nous dire que nous pouvions passer par "une ruelle" pour accéder au site. En fait, je pense qu'il a eu peur à sa coupole télé, car j'étais à quelques pouces de celle-ci...

Ha ! J'ai oublié de vous dire : nous sommes sous le couloir aérien de l'aéroport de Tucson !